Qui sommes-nous ?

Débuts modestes

Vers 1968, des francophones se regroupent déjà sous le nom de Club à la Claire fontaine et organisent des activités sportives, sociales et culturelles en français dans la région de Peel.

C’est en 1973 que le Cercle de l’amitié fut fondé, étant le seul organisme francophone du genre dans la région de Peel. Organisme sans but lucratif, il favorise le développement individuel et collectif des francophones du milieu par ses activités socioculturelles et sportives. 

Un centre scolaire communautaire

En 1994, la section de langue française du Dufferin-Peel Catholic School Board* invite le Cercle de l’amitié à devenir partenaire dans un projet de centre francophone qui regroupe une école secondaire, un centre communautaire et une église. Un comité directeur est chargé de la mise en œuvre du projet. C’est au cours de la deuxième assemblée publique tenue en juin 1995 que le nom « Centre scolaire communautaire Notre Place » est choisi.

Puis, en mars 1996, le ministère de l’Éducation de l’Ontario déclare un moratoire sur la construction de nouvelles écoles. Ceci remet en question le projet « Notre Place ». La communauté francophone se mobilise et proteste contre le moratoire, tout en appuyant le conseil scolaire dans ses démarches. C’est devant les tribunaux que les francophones doivent plaider leur cause, en vertu de la Charte canadienne des droits et libertés. La cause est gagnée et la Cour ordonne au Ministère de débloquer les fonds nécessaires à la construction de l’école Sainte-Famille, et par ce fait même, celle du centre scolaire communautaire.

La communauté de Peel

Les villes de Mississauga et de Brampton sont désignées sous la Loi des services en français et ses résidents ont un droit garanti de recevoir des services en français dans les bureaux du gouvernement provincial. C’est grâce au leadership du Cercle de l’amitié que Brampton fut désignée en 2007.

Peel possède une communauté francophone vibrante; selon les données de Statistiques Canada de 2011, il y avait 23 870 francophones vivant dans la région (dont 8 295 à Brampton, 14 800 à Mississauga et 780 à Caledon).

La région de Peel est l’une des municipalités ontariennes à la croissance la plus rapide et sa forte croissance démographique est majoritairement alimentée par l’immigration. En 2006, ceux-ci représentaient près de 50 p. 100 de la population globale de la région.